Music by night

Ce matin, 3h puisque l’heure à reculé d’une unité cette nuit. J’écoute « une fois » le cd de Rachid, la composition de Philippe Leroux, quid sit musicus -titre qui ne doit pas être suivi d’un ? (MG)

Repérer les plages. J’aime toujours la 5, Le gué. 

Mais pour ça il faut pouvoir voir le … la chaîne. Il me manque un mot. La mini-chaîne se compose de cet élément (platine tuner …) et de deux haut-parleurs. 

Voilà une phrase tout à fait désuète. Se compose de … 

La chaîne comprend …

Et comme il s’agit de tester la possibilité d’écrire sur mon blog, ces quelques lignes feront l’affaire. 

WordPress et après

La semaine dernière impossible d’ajouter un article à ce blog depuis l’ordi. Consulté aide et forums en vain. Pensé alors ouvrir un nouveau compte, un nouveau blog mais cette solution ne me convient pas. Voilà que l’ami iPhone me permet d’ouvrir le tableau de bord et d’ajouter un article. La suite ? Il enregistre ? 

« le pur type français »

La Traversée de Paris

La Traversée de Paris

Une petite phrase, incomplète, jointe au geste de prendre le menton et de tourner légèrement le visage pour l’avoir de profil … Ces mots, la notion de « pur type français », prononcés pendant l’occupation, le geste, les voilà dans La traversée de Paris (Gabin, Bourvil), sont exactement les mêmes que ceux, entendus en 1943, en Tunisie occupée et plus précisément à Beaulieu, chez nous. En 43 l’homme au pur type français, c’était zio Léon, tunisien, né à Monastir, teint clair, belle calvitie, beau parleur. Mais là il faisait l’objet de l’admiration d’un allemand en uniforme venu « réquisitionner » quelques poulets à la ferme.

Dans le film c’est Gabin qui fait admirer son compère Marcel (Bourvil).

Voilà. Une petite note pour les arrière-petits-enfants de Léon et Gilda (pas moi, une de mes tantes paternelles). Zio Léon était un grand comédien !

Et la surprise de retrouver cette situation dans un film qui a fait du bruit.

http://tvmag.lefigaro.fr/programme-tv/article/fiction/88576/le-film-a-voir-ce-soir-la-traversee-de-paris.html

le piano de Dickie

Cette histoire du piano, racontée tant de fois mais jamais par écrit ? pas blogui-blogué cette aventure pianistique, cet achat « improbable » mais réalisé en 1980 ? 1981 ? Tout a commencé à la St Richard de cette année-là, un samedi après-midi … et d’ailleurs si je veux retrouver l’année, il suffit de calculer, quel jour …
Voyons, dimanche 10 mai 1981, historique, et donc dimanche 3 mai.
Et en 1980, ça décale d’un jour … en plus ou en moins ? 365 jours ça doit faire n semaines (52) plus un jour. Ce qui revient à dire que, si le 3 avril était un dimanche en 1981, il tombait un samedi en 1980. Juste ? Ah mais non, j’ai mélangé avril et mai ! Je recommence, en m’aidant d’un calendrier.
Le 3 mai 1981 était un dimanche. Et le 3 avril ? un vendredi, vendredi 3 avril 1981.
En 1980, ça ne colle plus du tout mon histoire, le 3 avril 1980 était donc, il me semble, remontons d’un jour, un jeudi.
Que mon calcul ou mon approximation soit juste ou pas, il n’y a pas eu de samedi 3 avril 1980 ! On va se passer de la date exacte, il reste le samedi, et cette date du 3 qui est à la fois celle de la fête et de l’anniversaire de Richard familièrement appelé Dickie. Voilà.
Un jour proche du 3 avril (1981 peut-être, sinon 1980), l’ami Dickie me propose de l’accompagner dans une de ses expéditions favorites, aller essayer des pianos. Après tout c’est son anniversaire, pourquoi pas un piano !
Nous partons, braves mais sans un sou vaillant. Une boutique, deux, nous voilà chez Hamm dans le 17e, grand magasin de pianos. Un petit piano droit, un Petrof et je me rappelle alors en avoir entendu dire du bien, rapport qualité-prix etc. Et on s’installe et on s’attarde sur ce Petrof, tant et si bien qu’un vendeur vient s’intéresser à nos qui nous intéressons … Et il va réussir à nous le faire acheter. Non, non, nous n’avons pas de carnet de chèques, nous ne faisons que passer … Le gars est tenace et le tandem Dickie Gilda va céder. Dickie annonce, mais dans six mois j’aurai de l’argent et je me paye un Bozendorfer, je te revends le Petrof. Quelques jours après les pianos Hamm nous relancent au téléphone et le piano débarque, le temps de prendre un crédit de douze mille F.
Six mois plus tard, rien mais un peu plus d’un an plus tard, Dickie et toute sa famille vont devoir quitter leur appart, le loyer s’étant mis à grimper de manière vertigineuse. C’est donc moi qui ai pris un crédit cette fois pour racheter le Petrof.
L’histoire, il faut l’entendre raconter par Dickie, les mimiques, la conversation « historique » à trois …
Je n’ai pas son talent, je raconte juste aujourd’hui, 34 ou 35 ans plus tard, cet achat un peu accidentel. Mais … mais ? mais oui, il y a peut-être une suite, un autre piano (un piano pour Dickie ?)
A suivre

https://fr.wikipedia.org/wiki/Petrof
http://www.pianocenter.fr/marque-r-24-petrof.html

orgue et piano, l’entente cordiale !

Une belle tradition, pas si vieille mais bien ancrée, de Jour de l’orgue, dans toute le France depuis … je dirais pas plus de trois-quatre ans, 2011 je crois. Et comme l’impression que ce sont Les Amis des orgues de Brunoy qui ont lancé le mouvement, avec le Festival d’orgue, inauguré en novembre 2008. L’orgue Cattiaux, construit tout exprès pour notre église St Médard restaurée.

http://www.amisdesorguesdebrunoy.fr/2015/01/19/jour-de-lorgue-un-beau-concert-original/

Hier, à deux, Cyril Burin des Roziers (orgue) et Pierre-Kaloyann Atanassov (piano), ils nous ont emmenés très loin, très haut avec une réduction de la Pastorale, pour orgue et piano, signée Cyril Burin des Roziers.  Cette Pastorale, qu’on entend parfois « exécuter » en mode routine, était redevenue toute fraîche, elle retrouvait une jeunesse, une puissance, une intensité qui m’ont ramenée à la ferveur des premières années, l’après-guerre, où on écoutait Beethoven, en concert, à la radio, sur ces lourds 78 tours qu’il fallait changer si souvent, des temps immémoriaux d’avant le microsillon !  Un après-midi de grâce, une tranche de Paradis, « niente meno ».

La suite du concert, église pleine malgré le beau temps, le week-end festif, était à la hauteur. Une création, pour l’orgue Cattiaux  : Suite concertante pour piano et orgue, de Philippe Gaillard (professeur au Conservatoire du Val d’Yerres).

        – Le programme :

  • Beethoven : Vie Symphonie, en fa majeur, « Pastorale »  –
  • Samuel Scheidt, Magnificat du 9e ton (partie piano). Au sujet de Scheidt, Edith WEBER, « SCHEIDT SAMUEL (1587-1654)  », Encyclopædia Universalis [en ligne], consulté le 11 mai 2015. URL : http://www.universalis.fr/encyclopedie/samuel-scheidt/
  • Maurice Duruflé (1902-1986) : Scherzo opus 2 [en ligne, http://www.hyperion-records.co.uk/dc.asp?dc=D_CDH55475%5D
  • Claude Debussy, Suite pour piano (Prélude, Sarabande, Toccata)
  • Philippe Gaillard, Suite Concertante pour orgue et piano

        – Les amis des orgues de Brunoy

http://www.orguescattiaux.org/artisans.html

http://www.orguescattiaux.org/artisans.html

http://www.amisdesorguesdebrunoy.fr/lorgue-cattiaux/lhistorique/

Des passionnés, à commencer par Bruno Dubuisson, président et fondateur, il y croit ! il s’est battu pour cette restauration, avec une petite équipe de mordus, ils ont convaincu et vaincu les difficultés dont le financement bien sûr. Mais pas seulement. Il existe à Brunoy une belle classe d’orgue et un garçon, il descend en droite ligne de Bach, Cyril ! quelle aisance, quelle richesse, Et d’autres organistes, tout aussi passionnés, Guy Bernadet, Leonid Karev, le titulaire. Et aussi tous ceux qui aident à l’organisation des concerts, une belle équipe. Un cocorico pour Brunoy ! On ne pourra jamais les remercier, tous, autant qu’il le faudrait, pour ces moments exceptionnels.

Depuis quand existe ce Jour de l’Orgue ? 2011 à en croire le site « orgue-en-france :

http://www.orgue-en-france.org/presentation-orgue-en-france.html

jean malrieu (1915-1976)

Il aurait cent ans cette année.

 

Jean Malrieu

La vallée des rois

Les chats, nos compagnons.

 Ils nous jugeaient.

 Ils nous faisaient l’aumône.

 Les ronces s’enroulaient.

  Les murs nous encerclaient.

 Les rocs et le ciel aux aguets.

 Même la lampe était hostile.

 Dans sa clarté renversée.

 C’était là.

 J’aimais comme si je mordais.

 

____  

Je n’avais jamais entendu parler de Jean Malrieu et le découvrir a été un de ces chocs, précieux et rares, des moments dont on se souvient, évènements ou avènement, ouverture d’un monde. C’était probablement au lendemain de sa mort, en 1976.

A l’époque j’avais la chance de fréquenter un séminaire  de révolutionnaires passionnés, révolution et passion pour des mots, pour la poésie, l’expression orale,  le Cercle Polivanov.  Il y avait Jacques Roubaud, Pierre Lusson, Léon Robel.  Ils se réunissaient  tous les quinze jours aux Langues O, rue de Lille et c’était pour moi une véritable fête de la curiosité, de l’ouverture, enfin des gens désintéressés, ce qui manquait tant dans la vie quotidienne. A chaque r »union un ou plusieurs invités, toujours intéressants mais des fois le choc, l’admiration muette, Vitez ! Encore plus que Jean Malrieu, Vitez en personne avant sa gloire, il n’était que Professeur au Conservatoire, pas encore de théâtre et c’est venu très vite, le mythe.  Je me souviens de sa défense de l’alexandrin, il prononçait les e muets, un enchantement.  Cette rigueur, sa diction, sa voix, lui !

Mais je reviens à Jean Malrieu et, en cherchant un peu je découvre ses dates, un résumé de sa vie. J’apprends qu’il a fondé Action poétique en 1951, avec Gérald Neveu.  Je cherche dans un petit volume Jean Malrieu édité par Pierre Jean Oswald (PJO  Poche) et je ne retrouve pas ce qui avait provoqué ce choc. Mais voilà des liens plus roches :

 

http://www.espritsnomades.com/sitelitterature/malrieu.html

 

http://pierresel.typepad.fr/la-pierre-et-le-sel/2013/09/jean-malrieu-le-temps-du-d%C3%A9sir.html

Jean Malrieu – Levée en masse

http://pierresel.typepad.fr/la-pierre-et-le-sel/2013/09/jean-malrieu-le-temps-du-d%C3%A9sir.html

 

 

http://temporel.fr/Jean-Malrieu-par-Yvon-Le-Men

 

 

et là … oui.  Sur le site d’Yvon le Men un passage d’une lettre de Jean Malrieu  …

 

Ne serait-ce qu’une fois, si tu parlas de liberté,

Tes lèvres, pour l’avoir connue, en ont gardé le goût du sel,

Je t’en prie,

Par tous les mots qui ont approché l’espoir et qui tressaillent,

Sois celui qui marche sur la mer.

Donne-nous l’orage de demain.

 

Les hommes meurent sans connaître la joie.

Les pierres au gré des routes attendent la lévitation.

 

Si le bonheur n’est pas au monde nous partirons à sa rencontre.

Nous avons pour l’apprivoiser les merveilleux manteaux de l’incendie.

 

Si ta vie s’endort,

risque-la.

 

http://pierresel.typepad.fr/la-pierre-et-le-sel/2013/02/un-jour-un-po%C3%A8me-jean-malrieu-%C3%A0-lusage-des-humbles.html

 

 

 

 

 

 

 

un père à retrouver

  • Ce soir pas de radio, grève illimitée. C’est donc moi qui vais parler de France Culture, et particulièrement des Pieds sur terre, et d’une personne qui racontait, – je crois bien que c’était mercredi, le 18 mars – qui racontait sa vie, avec ce problème de s’entendre dire un jour tu sais, ce n’est pas ton père ». Elle disait avec beaucoup d’émotion le poids de ne plus savoir qui on est, à quoi peut ressembler ce père biologique qu’on vous balance avec d’autres révélations. Et un jour la rencontre, qui bouscule et qui soulage, qui peut dénouer des incertitudes étouffantes. C’est la dernière des personnes qui racontent un regret.

Le lien sur l’émission : http://www.franceculture.fr/player/reecouter?play=5012937

  • Et puis je repense à un petit livre que j’ai beaucoup aimé, Le citronnier, de Samantha Barendson. Là aussi recherche du père, mystères à élucider, murs de silence.
  • Et je découvre, en cherchant une illustration, que Le citronnier a sa page Facebook, où je pique deux liens. Merci. Ils disent mieux que moi …

https://www.facebook.com/lecitronnierbarendson

 

  •  Ces deux récits, brefs et si riches, sont de ceux qui vous marquent.

Shulem Rozenberg, adieu, zal

Sholem Rosenberg, 1919-2015

Il était l’incarnation de ces juifs de Paris, riches d’histoire, de cultures, il a bourlingué d’est en ouest, curieux des temps nouveaux, à venir, à l’écoute toujours … La longue maladie de sa compagne, le livre composé à partir de son Journal, la guerre, réfugiée en Asie Centrale tandis que sa famille était exterminée.

      Fun heym tsu na-ṿenad : milḥome-ṭogbukh, 1941-1945 ; un, Lider fun tsaʻar un ṿande

Et son beau yiddish … un texte enregistré par Akademia, une interview par Gilles Rozier (je ne peux pas le copier ici, je l’écoute en ce moment, c’est un fichier mp3)

  szulimrozenberg.mp3

ZAL, Shulem …

Tante Marie (on va dire Marie)

solsona_nativite_enfantCe n’est pas son vrai prénom et ce n’était pas ma tante non plus, mais quelle richesse, quelle personnalité, pas du tout une tante gâteau qui vous passe tout bien au contraire mais la générosité même, un immense amour des gens, de la beauté, du travail abouti, fini, soigné, les petits objets amoureusement faits, l’Italie dans tous ses états y compris celui du Vatican !

Une femme d’affaires, pratique, réfléchie, curieuse des techniques, du bel artisanat, un grand sens du respect, du soin, du « care » … ses plantes, ses soirées la table mise avec chaque fois des surprises, une mise en scène des couleurs, des objets, la joie des évocations, jamais rabâchées, toujours vives. Artisan du chocolat, quelqu’un l’avait surnommée ma petite chocolatière. Un beau courage, devant la maladie, les coups durs. Son savoir-faire, elle ne reculait jamais devant un effort, comprendre, analyser, s’adapter à un matériau et aux goûts de la clientèle. Car c’est un sacré métier que de fabriquer et de vendre ! Il faut être modeste, mais sûr de soi, de la qualité de ses produits, contrôler tout, les dates, la composition, l’emballage. C’est un art, qui comprend aussi le souci des bonnes relations, de la confiance. Elle avait des clients de la haute société, la « jet » et elle savait aussi être à l’écoute des plus modestes, bref, douée et énergique, gaie mais des fois cafardeuse. Son recours, la foi, bonne catholique, soutenue par cet amour qu’elle portait-recevait. Un grand salut, ma chère M ♥

  • Grande lectrice de Montaigne, elle racontait qu’avec son père ils avaient tellement feuilleté, lu, relu, discuté Les Essais qu’ils avaient dû reprendre de nouveaux exemplaires … Tiens, comme un certain Jean M avec sa grammaire de l’hébreu biblique, usée jusqu’au moindre feuillet et remplacée un jour. Mais le vêtement ou le livre neuf n’est jamais aussi satisfaisant que le bon vieux, usé, manipulé, tous les repères qu’il vos offre, vieille complicité …
  • Montaigne mais aussi l’Italie, de longs séjours à sillonner, rechercher, découvrir, les mosaïques, fresques, baptistères … Et de chaque voyage elle rapportait des trésors à distribuer, j’ai encore un joli petit calendrier Gatti di Roma 1997. Je tourne les pages des mois, chacun a sa photo de chats, et Yoga per gatti … je ne lui ai pas connu de chat mais elle avait dû en avoir.

Ses parents, une éducation orientée curiosité liberté indépendance, elle avait un frère, mort bien jeune, des neveux qu’elle chérissait.

Que de bons moments … et autour d’elle, que d’amis, une belle ferveur.

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Fernet Branca, Campari, Ferrochina Bisleri …

Tous ces noms liés au métier qui fut celui de mon père, un moment, représentant en liqueurs, apéros … métier qu’il a abandonné parce qu’il était en trains de détruire sa santé en buvant moult apéros pour entraîner les clients. Il s’est soigné en faisant une cure de raisin ! Mon père, les déboires et coups durs qu’il a eus, à sept ans une jambe cassée, mal opérée, à plusieurs reprises, à Tunis puis en Italie … il était devenu un enfant grabataire, n’osant plus mettre pied à terre avec cette jambe douloureuse et déformée.

C’est une dame, amie de la famille, la Signora Gilda (je crois que c’était une Levi de Leon, lointaine ascendance ibérique ? c’est bien possible, ce nom de Leon) qui l’a sorti de là, lui a redonné confiance en lui, marche et école, la vie, lui a fait avoir son certificat d’études … Après il a exercé un peu tous les métiers dont celui de préparateur en pharmacie. Il en avait gardé un intérêt pour la composition et l’action des médicaments mais, après ses expériences malheureuses avec les chirurgiens, il ne voulait plus entendre parler des médecins, préférant se soigner lui-même, d’où sa cure de raisin pour se désalcooliser !

De l’époque apéros il avait conservé une jolie collection de petites bouteilles, des échantillons de marques, qu’il rangeait dans une petite armoire, c’était son bien, son domaine. Pour le reste, totalement désintéressé, pas avare pour un sou, mais ne jouant pas non plus les grands seigneurs, un homme modeste qui avait de grandes colères quand on essayait de l’embrouiller, un homme qui chantait volontiers, aimait les animaux, les gens, les enfants à qui il savait raconter des histoires de rêve.

Ses petites bouteilles, ses précieux échantillons, il avait promis de les offrir aux anglais, aux américains tant attendus en 1942-43, pendant les six mois d’occupation allemande à Tunis … et il a tenu parole.

Aussi, voir une série de photos destines à alerter le monde pour la sauvegarde d’un immeuble des Frères Branca, à Nice, ça me touche, je signe une pétition.  Merci à Michel Orcel qui  m’en a parlé, à mon tour, je l’envoie à quelques amis FB …

Quelques liens :

fratelli_branca_nice_01

fratelli_branca_nice_02

fratelli_branca_nice_04